La recherche de conseils personnalisés et l’impératif de gain de temps a un impact fort sur les rayons des pharmacies. Le choix offert doit être important, mais vite compris ; il doit répondre aux besoins pré-identifiés du shopper, mais lui proposer également des réponses complémentaires valorisantes.
Il n’y a pas d’organisation « customer-centric » dans l’organisation traditionnelle des offres en officines. Le merchandising, dirigé par les stratégies de marques des laboratoires a toujours une structure par marque (est-ce la clé d’entrée pour un dentifrice ?), par technicité (qui vient acheter un complément alimentaire ?) voire par laboratoire, explique Elodie Croteau, consultante merchandising de l’agence Cross. Il y a une perte de temps pour le client, le personnel ne dédie pas toujours son temps sur les conseils nécessaires, et une mauvaise optimisation du rendement linéaire des officines.
Tous les univers produits nécessitent une réelle approche catégorielle.
Le secteur pharmaceutique doit importer les techniques efficaces de la distribution mature et les adapter à ses spécificités ! C’est un enjeu majeur des relations entre groupements, laboratoires et pharmaciens dans les années à venir.
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